Redacción.- Barcelona (España), 14 de noviembre de 2020. El proyecto secesionista es en esencia totalitario y de ninguna manera comparte nuestros valores democráticos. Vladimir Ilyich Ulyanov dice que Lenin preparó la revolución bolchevique desde Carouge, Ginebra. En 1937, la Universidad de Lausana otorgó un doctorado honorario al fascista Benito Mussolini. Nuestro país fue de los primeros en reconocer la legitimidad del dictador Francisco Franco, etc.. Aprendamos del pasado. No repitamos los mismos errores con el aparato separatista catalán.
Primero, no comparte nuestros valores democráticos. Veremos por qué. En segundo lugar, este movimiento no representa a la mayoría social catalana y española apegada a la convivencia ya la unidad de España. Por un lado, esta corriente revisionista intenta encubrir treinta años de actividades ilícitas.
Principalmente, de una burguesía corrupta (el caso 3%; el Palacio de la Música; los esquemas de los expresidentes de la Generalidad de Cataluña, Jordi Pujol Soley, Artur Mas Gavarró, etc.).
Por otro lado, nos encontramos ante una izquierda totalitaria y expansionista encarnada por la Izquierda Republicana de Cataluña (ERC) cuyo pasado sulfuroso nos remonta a la década de 1930. A las matanzas perpetradas bajo el liderazgo de su fundador Lluís Companys Jover el seguidor de la «democracia expedita». ERC no ocultó su simpatía por Mussolini.
El socialista vecino de Cataluña, Josep Borrell (PSC), describe muy bien esta asociación en particular: la alianza del agua con el fuego. O crimen con ideología.
ERC, al igual que otras facciones separatistas, impone en las calles catalanas y en los medios de comunicación la bandera separatista (Estelada) —un estandarte adornado con una estrella blanca sobre un triángulo azul o amarillo— que no es la bandera catalana. Es solo la bandera de los separatistas.
ERC nutre la ideología de conquistar territorios que van desde el Rosellón hasta la Comunidad de Valenciana, abarcando la Comunidad autónoma de Cataluña, las Islas Balears y Aragón. Ésta es la fantasía del escritor Joan Fuster. El diseño separatista es, en más de un sentido, surrealista.
Volvamos al intento de golpe de Estado de septiembre y octubre de 2017, en la Comunidad autónoma de Cataluña. El aparato separatista, que también está formado por los cabilderos de asociación secesionista Òmnium Cultural (incluido International Trial Watch) y la Asamblea Nacional Catalana (ANC), sin contar nunca con la mayoría social, amordaza a la oposición; viola la Constitución Española y el Estatuto de autonomía de Cataluña; pisotea la ley electoral; organiza un referéndum ilegal en un contexto de malversación de fondos.
En Suiza, no compartimos esta visión de la democracia. Este enfoque se enmarca en el artículo 265 de nuestro Código Penal, Delitos contra el Estado y defensa nacional.
Es sorprendente que el propagandista separatista Consejo de Diplomacia Pública de la Generalidad Cataluña (Diplocat), ubicado en la calle Rousseau 38, en Ginebra (Suiza), actúe en nuestro territorio como embajador que no lo es. Encontramos su huella en el Ayuntamiento de Delémont; en la Universidad de Ginebra; en la Feria del Libro; en el Swiss Press Club; detrás de un puñado de asesores nacionales, etc..
Es una suerte que la Asociación Catalunya Pueblo de España, que hace oír la voz de la mayoría social catalana, haya presentado la petición nº 19.2032 a la Cancillería Federal para el cierre de esta farmacia. Observemos el principio de precaución.
François Meylan,
Presidente et fundador de Asociación Catalunya Peuple d’Espagne
Lausana, lunes 09 de noviembre de 2020
En francés
La Suisse ne devrait pas offrir le flanc à la propagande des séparatistes catalans
Le projet sécessionniste est par essence totalitaire et ne partage en rien nos valeurs démocratiques. Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine a préparé la révolution bolchevique depuis Carouge, à Genève. L’Université de Lausanne décerna, en 1937, un doctorat honoris causa au fasciste Benito Mussolini. Notre pays fut dans les premiers à reconnaître la légitimité du dictateur Francisco Franco etc. Apprenons du passé. Ne répétons pas les mêmes erreurs avec l’appareil séparatiste catalan.
Primo, celui-ci ne partage pas nos valeurs démocratiques. Nous verrons pourquoi. Deuxio, cette mouvance ne représente pas la majorité sociale catalane et espagnole qui est attachée au vivre ensemble et à l’unité de l’Espagne. D’une part, ce courant révisionniste tente de dissimuler trente ans d’activités illicites.
Principalement, de la part d’une bourgeoisie corrompue (affaires des 3%; le Palais de la Musique ; les combines des Jordi Pujol, Artur Mas etc et etc).
D’autre part, nous sommes confrontés à une gauche totalitaire et expansionniste incarnée par l’Esquerra Republicana de Catalunya (ERC) dont le passé sulfureux nous ramène aux années 30. Aux tueries de masses perpétrées sous la direction de son fondateur Lluís Companys l’adepte de la «démocratie expéditive».
L’ERC ne cachait alors pas sa sympathie pour Mussolini. Le socialiste espagnol d’origine catalane Josep Borrell décrit très bien cette association particulière : l’alliance de l’eau avec le feu. Ou de la criminalité avec l’idéologie. L’ERC comme, d’autres factions séparatistes, impose dans les rues catalanes comme dans salles de rédaction l’Estelada –bannière ornée d’une étoile blanche sur un triangle bleu– qui n’est pas le drapeau catalan. C’est seulement l’étendard des séparatistes.
L’ERC, nourrit l’idéologie de conquérir des territoires qui vont du Rousillon à la communauté de Valence. Englobant l’autonomie catalane, les îles Baléares et le sud d’Aragon. C’est le fantasme de l’écrivain Joan Fuster. Le dessein séparatiste est, sur plus d’un plan, surréaliste.
Revenons à la tentative de coup d’Etat de septembre et octobre 2017, dans l’autonomie catalane. L’appareil qui est aussi composé des lobbyistes Òmnium Cultural (International Trial Watch compris) et l’Assemblée nationale catalane (ANC), sans jamais bénéficier de la majorité sociale, musèle l’opposition; viole la constitution du pays et le statut de l’autonomie; piétine la loi électorale; organise sur fond de malversations un référendum illégal.
En Suisse, nous ne partageons pas cette vision de la démocratie. Cette manière de faire relève de l’article 265 de notre Code pénal, Crimes contre l’Etat et la défense nationale.
Il est surprenant que le propagandiste séparatiste Diplocat, à la rue Rousseau 38, à Genève, agisse sur notre territoire comme un ambassadeur qu’il n’est pas. On trouve son empreinte à la mairie de Delémont ; à l’Université de Genève ; au Salon du Livre ; au Club suisse de la presse ; derrière une poignée de conseillers nationaux etc et etc.
Il est heureux que l’association Catalunya peuple d’Espagne qui fait entendre la voix de la majorité sociale catalane, ait déposé, à la Chancellerie fédérale, la pétition No 19.2032 pour fermer cette officine. Observons le principe de précaution.
François Meylan
Président et fondateur de l’Association Catalunya Peuple d’Espagne
